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une communauté sacerdotale

La Fraternité Sacerdotale Saint Pie X est une socié­té de prêtres catho­liques fon­dée par Mgr Marcel Lefebvre en 1970. Son But essen­tiel est la for­ma­tion de bons prêtres par les moyens que l’Église a tou­jours employés.

La maison
du district

Connaître nos supé­rieurs, accé­der aux com­mu­ni­qués offi­ciels, deman­der un cer­ti­fi­cat de baptême.

Nos maisons
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Bastions de la foi et phares de la Chrétienté, elles sont la base de notre apostolat. 

Les œuvres
du district

Offrir à cha­cun la pos­si­bi­li­té de s’in­ves­tir au ser­vice de Notre-​Seigneur Jésus-​Christ et d’ap­pro­fon­dir sa vie chrétienne.

La
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Prêtre, frère, oblate, sœur de la FSSPX. Comment répondre à l’ap­pel de Dieu ? 

Où trouver
nos lieux de messe

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La Fraternité Sacerdotale Saint Pie X est for­te­ment implan­tée en France avec plus de 40 prieu­rés. Elle des­sert 125 lieux de culte où la sainte messe est célé­brée les dimanches, fêtes et jours de semaine. La Fraternité Saint Pie X des­sert éga­le­ment cer­taines com­mu­nau­tés amies. Cliquez ci-​dessous pour trou­ver un lieu de messe de la fra­ter­ni­té et ses horaires en France.

La messe en direct

de saint-​nicolas-​du-​chardonnet

Prends-​moi dans ton silence, loin des bruits et de l’a­gi­ta­tion du monde.
Saint Jean de la Croix
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Martyrologe

Saint Pierre, de l’Ordre des Frères Prêcheurs, mar­tyr, qui souf­frit pour la foi catho­lique le 8 des ides d’a­vril (6 avril).

A Rome, l’an­ni­ver­saire de sainte Catherine de Sienne vierge, du Tiers-​Ordre de saint Dominique, célèbre par sa vie et par ses miracles. Elle a été ins­crite au nombre des saintes vierges par le sou­ve­rain pon­tife Pie II ; sa fête se célèbre le jour suivant.

A Paphos, en Chypre, saint Tychique, dis­ciple du bien­heu­reux apôtre Paul : celui-​ci dans ses épitres l’ap­pelle son frère très cher, son ministre fidèle, et son com­pa­gnon dans le ser­vice du Seigneur.

A Pise, en Toscane, saint Torpès mar­tyr. Il occu­pa d’a­bord un ser­vice impor­tant sous Néron, et fut l’un de ceux dont parle saint Paul dans sa Lettre écrite de Rome aux Philippiens : « Tous les saints vous saluent, mais prin­ci­pa­le­ment ceux qui sont de la mai­son de César. » Dans la suite, par ordre de Satellicus, il fut souf­fle­té pour la foi du Christ, cruel­le­ment bat­tu de verges, expo­sé aux bêtes pour en être dévo­ré, mais elles l’é­par­gnèrent ; il fut enfin déca­pi­té et ache­va ain­si son martyre.

A Cyrthe, en Numidie, l’an­ni­ver­saire des saints évêques mar­tyrs Agape et Secondin. Après un long exil dans cette ville, durant la per­sé­cu­tion de Valérien, où la rage des païens fit les plus grands efforts pour faire perdre la foi aux justes, ces deux ath­lètes ajou­tèrent à la digni­té du sacer­doce la gloire d’un écla­tant mar­tyre. Avec eux souf­frirent le sol­dat émi­lien, les vierges consa­crées Tertulle et Antonie, et une femme avec ses deux enfants jumeaux.

Dans l’île de Corcyre, sept voleurs, qui, conver­tis au Christ par saint Jason, par­vinrent à la vie éter­nelle par la voie du martyre.

A Naples, en Campanie, saint Sévère évêque. Entre autres mer­veilles, il fit revivre un mort pour un temps, afin qu’il convain­quit de faus­se­té le créan­cier impos­teur d’une veuve et de ses pupilles.

A Brescia, saint Paulin, évêque et confesseur.

Au monas­tère de Cluny, en France, saint Hugues abbé.

Au monas­tère de Molesmes, en France, saint Robert, qui fut le pre­mier abbé de Citeaux.

Sanctoral

Saint Pierre de Vérone Martyr

Né à Vérone vers 1205, de parents mani­chéens, saint Pierre com­bat­tit dès son enfance l’hé­ré­sie albi­geoise, une erreur renou­ve­lée du mani­chéisme, qui pré­sen­tait le monde maté­riel, et notre corps lui-​même, comme l’œuvre d’un dieu mau­vais. Il entra dans l’Ordre des Frères Prêcheurs à l’âge de seize ans et conser­va son corps et son âme dans une telle pure­té que jamais il ne com­mit un péché mor­tel. Il s’at­ta­cha, par sa pré­di­ca­tion et ses miracles, à mon­trer que toute la créa­tion est l’œuvre de Dieu et que le seul véri­table mal réside dans le péché de l’homme. L’ardeur de sa foi l’en­flam­mait tel­le­ment qu’il sou­hai­tait de mou­rir pour elle ; il fut exau­cé : un impie sicaire envoyé par les mani­chéens l’as­sas­si­na sur la route de Come à Milan le 6 avril 1252. Il expi­ra, tan­dis qu’il s’ef­for­çait de tra­cer sur le sol, avec son sang, les pre­miers mots du cre­do : « Je crois en Dieu, créa­teur du ciel et de la terre… » De nom­breux tableaux de l’é­cole flo­ren­tine repré­sentent cette scène de son martyre.

On lit dans sa Bulle de cano­ni­sa­tion : « Une grappe choi­sie dans la vigne de l’Église a rem­pli de son suc géné­reux le calice royal ; la branche dont elle a été déta­chée par le fer était des plus adhé­rentes au cep divin ».

Lundi 29 avril 2024

Saint Pierre de Vérone Martyr

3e classe